Qu’est-ce que le Co-enzyme Q10 ?

Le coenzyme Q10 (CoQ10) est un assistant important qui contribue au bon fonctionnement d’un organisme sain, que l’on trouve dans toutes les parties du corps, mais qui est plus abondante dans le cœur et le cerveau. Le CoQ10 agit comme une vitamine en aidant à protéger nos cellules contre les dommages causés par les radicaux libres. Les radicaux libres sont des particules hautement réactives qui cherchent constamment à se stabiliser et, ce faisant, endommagent notre corps et détruisent les cellules.

Ainsi, ils provoquent un stress oxydatif, c’est-à-dire qu’ils endommagent nos cellules, ce qui peut les faire mourir ou même les rendre cancéreuses.

Le corps d’une personne en bonne santé produit le CoQ10 en quantité suffisante. Pourtant, à mesure que nous vieillissons, notre corps a de plus en plus de mal à produire suffisamment de Coql0 – pour maintenir un équilibre sain.

Que fait le CoQ10 pour nous ?

Le CoQ10 existe sous deux formes au sein de nos cellules : une forme oxydée, il est alors appelé ubiquinone ; et une forme réduite, appelée ubiquinol. Le corps humain utilise les deux formes : la forme réduite de l’ubiquinol pour neutraliser les radicaux libres présents dans le corps (signifiant qu’il fonctionne comme un antioxydant), et la forme oxydée pour aider nos cellules à produire de l’énergie.

Le rôle du Co-enzyme Q10 en tant qu’antioxydant. Les antioxydants sont des substances qui protègent notre organisme des dommages causés par l’oxydation, souvent provoquée par les radicaux libres. L’ubiquinol peut neutraliser ces radicaux libres, les rendre inoffensifs et donc protéger notre corps des dommages chimiques.

Les antioxydants comme la vitamine C et E offrent essentiellement la même protection que le CoQ10. Cependant, le CoQ10 est bien meilleur en tant qu’antioxydant car chaque unité de CoQ10 peut nous protéger deux fois de l’effet des radicaux libres. En plus, le CoQ10 aide également les vitamines comme la C et la E à travailler mieux et plus efficacement, ce qui signifie un pouvoir antioxydant encore plus grand.

Le rôle du CoQ10 dans la production d’énergie

Le coenzyme Q10 joue également un rôle important dans le maintien du corps humain en vie et en bonne santé. L’oxygène que nous respirons est transporté par notre sang dans tout le corps. En fait, cet oxygène est utilisé à l’intérieur de nos cellules pour alimenter les centrales électriques qui créent l’énergie dont nous avons besoin pour vivre, respirer, bouger et rire.

Malheureusement, au cours de ce processus, des radicaux libres sont produits par une réaction naturelle.

Dans un corps sain, ces radicaux libres sont capturés et désactivés par des antioxydants, tels que le CoQ10 ou des vitamines. Notre corps se protège essentiellement des dommages causés par les sous-produits de ces centrales cellulaires.

Un style de vie sain, avec des fruits et légumes frais et un environnement sain, nous aide à maintenir cette protection interne pendant notre jeunesse.

Le coenzyme Q10 est important dans la chaîne de production d’énergie de notre corps

Notre réserve naturelle de CoQ10

Notre production de CoQ10 fonctionne le mieux lorsque nous avons entre 20 et 30 ans. Lorsque notre organisme fabrique le très utile CoQ10, il fabrique également du cholestérol en même temps, en utilisant des blocs de construction similaires. Le produit final n’est pas du tout le même, même s’ils ont commencé de la même façon. Un peu comme des bâtiments différents commencent par des briques, mais l’un devient un hôpital et l’autre une maison familiale.

Chez une personne en bonne santé ayant un mode de vie sain, cette double production ne pose aucun problème. Cependant, de plus en plus de personnes prennent aujourd’hui des statines pour faire baisser leur taux de cholestérol sanguin. Les statines sont des médicaments très efficaces qui bloquent la production de cholestérol dans notre organisme. Malheureusement, cela signifie qu’elles empêchent également notre organisme de produire du CoQ10, nécessaire au maintien d’un équilibre sain dans notre système.

Comme puis-je aider mon corps à avoir suffisamment de CoQ10

Le CoQ10 qui est vendu comme complément alimentaire sous forme de comprimés, des gélules ou de gouttes est basé sur un processus de fermentation de levure, ce qui le rend adapté aux végétariens et aux végétaliens. Le CoQ10 est préparé pour le marché grand public en étant transformé en capsules d’ubiquinol ou d’ubiquinone.

Des études cliniques ont montré qu’une formulation de CoQ10 dans I‘huile met environ 5 à 8 heures pour atteindre notre circulation sanguine après avoir été avalée.

La capsule s’ouvre dans l’estomac et libère Ie CoQl-0. À ce stade, l’ubiquinol qui se trouvait dans la capsule est généralement oxydé en ubiquinone, à moins que des antioxydants protecteurs ne soient ajoutés à la capsule pour préserver la forme réduite. Un bon équilibre du CoQ10 dans le corps est atteint après environ 1 à 2 semaines, ce qui signifie que les effets positifs des suppléments de CoQ10 ne sont pas enregistrés immédiatement mais augmentent lentement sur une courte période.

Nos cellules utilisent l’oxygène que nous respirons pour produire l’énergie qui maintient notre corps en vie. Il est normal qu’au cours de ce processus, des radicaux libres soient produits. Dans un organisme sain, ces radicaux libres sont capturés et désactivés par des antioxydants, comme le CoQ10 ou les vitamines. Toutefois, en période de stress ou de maladie, Ia production et la régénération d’antioxydants peuvent être très limitées, ce qui entraîne une accumulation de radicaux libres dans l’organisme. Les radicaux libres perturbent le bon fonctionnement de nos cellules et nuisent à un métabolisme sain. ll a été démontré qu’une dose quotidienne de deux fois 100 mg aide les patients souffrant de fatigue et d’essoufflement qui sont liés aux maladies cardiaques.

Le Lapacho : les bienfaits de cette plante d’Amazonie

Le Lapacho est un grand arbre de la famille des bignoniacées, très réputé dans la pharmacopée traditionnelle de l’Amérique du Sud. Considéré comme une véritable panacée, il y est surnommé « arbre sacré des incas » ou encore « arbre de vie ». En effet, les guérisseurs de l’Empire inca employaient déjà I ‘écorce de Lapacho à des fins thérapeutiques, notamment pour ses qualités antibactériennes, antivirales et antifongiques, Une étude de la composition du Lapacho a permis de découvrir deux molécules à l’origine de Ia plupart des bienfaits répertoriés : le Lapacho et le bêta-lapachone. Ainsi, le Lapacho est maintenant scientifiquement reconnu pour son action stimulante des défenses immunitaires, ce qui en fait un allié idéal pour soutenir l’organisme contre de nombreuses infections. Le Lapacho contribue

notamment à augmenter Ia résistance physiologique de l’organisme lorsque celui-ci est soumis à des conditions difficiles (affection longue durée, immunodéficience, stress.,.). Par ailleurs, la recherche scientifique a permis de valider son efficacité contre certaines souches bactériennes particulièrement résistantes aux antibiotiques telles que Staphylococcus Aureus (infection urinaire, endocardite, pneumonie…,) ou encore le bacille de Koch.

De plus, l’écorce de Lapacho est traditionnellement préconisée pour lutter contre les maux de l’hiver comme le rhume ou la bronchite, Le Lapacho a également montré de très bons résultats contre de nombreuses infections fongiques (candidose6, aspergillose) et virales. Enfin, l’écorce de Lapacho possède une action tonique qui permet d’apporter un regain d’énergie et de vitalité en cas de fatigue. ll est donc

particulièrement apprécié en cas de maladies chroniques, de système immunitaire affaibli ou de convalescence.

La santé est-elle l’axe majeur de cette période de coronavirus ?

Maintenant que chacun a fait ses réserves, sera-t-il en mesure d’en profiter s’il ne prend pas soin de sa santé ?

Nous assistons depuis le début de cette épidémie et du confinement a un véritable rush sur les produits de bases…  Pâtes, farines, pommes de terre, papier toilette, savons.
Nous sommes en face d’une réaction basée sur les mémoires de nos parents et grands-parents qui ont souffert de ces pénuries : le contexte d’aujourd’hui est totalement différent.

Être prévoyant est une bonne chose surtout, même s’il y a encore quelques semaines, nous vivions dans l’inconscience totale du lendemain concernant tous ces produits de première nécessité (les courses du samedi faisaient parties du rituel hebdomadaire… !)

Maintenant que chacun a fait ses réserves, sera-t-il en mesure d’en profiter s’il ne prend pas soin de sa santé ?

Nos grands-parents ont fait face aux chars, ils ont vécu les restrictions, ils ont créé les réseaux de résistances animés par des personnes de hautes valeurs.

Aujourd’hui l’ennemi n’a pas de frontière : il est invisible, peut frapper et entrer chez chacun d’entre nous. Sa seule frontière est la membrane de nos cellules, à condition qu’elles soient en bonne santé, telle est la résistance de notre corps, elle est en nous et à nous de la renforcer.

Un virus est une entité parasite. Il ne dispose pas de machinerie pour assurer sa réplication. Un virus doit nécessairement utiliser celle de cellule hôte, donc la nôtre. Les virus ont une taille qui les situe tout en bas de l’échelle des dimensions. En moyenne, la taille d’un virus n’est qu’un millième de celle d’une bactérie. Ceux sont les plus petits micro-organismes. Ils ont une capacité forte et utilisent notre génétique comme passeport pour entrer dans notre cellule. Voilà pourquoi il est important de bien capitaliser sur notre santé. 

 La résistance doit venir de l’intérieur, il est impératif de renforcer au mieux nos défenses immunitaires, dans une telle période il faut mettre tous les atouts de son côté.

Avez-vous pensé à vous munir des éléments indispensables à vos défenses naturelles ?

N’oublions pas que le grand créateur a mis à notre disposition un certain nombre de système de défenses que nous devons alimenter afin de le rendre efficace.

Les éléments bien connus pour soutenir nos défenses sont :

  • La vitamine D
  • La vitamine C
  • Le magnésium
  • La propolis
  • Les probiotiques
  • Ravintsara, Laurier noble, eucalyptus…….

La liste est longue des plantes et actifs qui contribuent à préserver notre santé : N’attendons pas de rencontrer ce vilain virus pour vouloir agir, agissons mettons toutes les chances de notre côté.
Sachant que certains s’accordent à dire que les médicaments devraient manquer d’ici peu si la pandémie se poursuit….

Au-delà de tous ces conseils, il est bien sur très important de respect tous les gestes barrières, de bien respecter le confinement, en l’absence de réels solutions efficaces, le mieux est encore de ne pas s’exposer

 

JEAN CHARLES LE GALL –  HP NATUROPATHE

Lettre …. protocole au Professeur Raoult

Lettre à l’attention de Madame Karine Lacombe en opposition au protocole du Professeur Raoult   de Claude Escarguel* (ancien collaborateur du professeur Raoult) publie en exclusivité pour notre groupe.

Madame le Professeur et chère Consoeur,

Je me permets, en tant que microbiologiste et ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux (syndicat ayant oeuvré pour la réforme hospitalière), tout en reconnaissant vos travaux indiscutables dans le domaine des infections sexuelles (VIH, papillomavirus, Herpès etc…), de trouver surprenant de qualifier la démarche du Pr Raoult « de comportement scandaleux ».
Sa démarche depuis le début du mois de Mars est celle préconisée par l’OMS : tester, tester, tester.
En bon médecin, il applique à ses malades le traitement qu’il juge avoir le meilleur rapport avantages/risques et ses résultats sur plus de 1000 malades traités avec son protocole nous signale à ce jour un seul décès d’un patient de 84 ans, mais surtout des guérisons accélérées suite à la chute de la charge virale constatée par PCR et par Culture.

Pourquoi s’obstiner aujourd’hui à attendre des résultats d’une évaluation (Discovery) ne prenant même pas en compte son protocole (absence de l’azithromycine) et dont les indications ne sont pas respectées (il ne sert à rien de traiter des malades en réanimation car le processus physiopathologique est à ce stade inflammatoire et/ou lié à des coagulopathies) ?
Vous empêchez, par votre démarche, qui semble très influente sur le Premier Ministre et sur le Ministre de la Santé, et par votre alarmisme sur les éventuels effets secondaires, que des malades diagnostiqués positifs, soient traités et soient ainsi limités dans leur pouvoir infectant : ce qui va à l’encontre du confinement indispensable que nous suivons tous.
Vous empêchez aussi la diminution du nombre de patients entrant en réanimation qui est, comme vous l’avez sûrement constaté dans tous les processus de « l’effet inoculum viral », la conséquence inéluctable de la chute de la charge virale.

Votre obstination et votre volonté de procéder à une démarche « méthodique » conventionnelle en période « de guerre », démarche qui dure généralement plusieurs mois avant d’être validée par notre communauté, met en danger un nombre important de patients qui pourraient éviter l’aggravation de leur infection et surtout, éviter le pouvoir contaminant des malades positifs au COVID19 non traités.
Même Mme Merkel, même l’Europe (au niveau de la règle des 3%), même le Premier Ministre tant au niveau de la validation des équipements vétérinaires pour pallier à nos lacunes que pour l’éventualité de possibles « nationalisations », ont assoupli dans cette période difficile leur « orthodoxie ».

Aussi je vous demande humblement de penser à tous ceux qui prennent le risque d’être contaminés ou à ceux qui le sont et qui souhaitent éviter les complications, de recommander de pratiquer dès aujourd’hui le seul traitement efficace (cf. l’accord donné par la FDA aux USA) avec le meilleur rapport avantages/risque et ce avec un coût de revient digeste pour nos dépenses de santé. En effet le coût du plaquenil est bien inférieur à celui des molécules des laboratoires, Gilead ou autre, pour lesquels vous travaillez habituellement, et ce en toute légalité, dans votre spécialité les infections sexuelles.

Claude Escarguel* : ancien microbiologiste hospitalier créateur de la société « International Microbio » spécialisé dans les infections sexuellement transmissibles, ancien co-créateur de la société BVT ayant mis le premier vaccin au monde pour les leishmanioses canines, ancien collaborateur du professeur Raoult pouvant témoigner du sérieux de toute son équipe.

 

Cataplasmes d’eau de mer

RECETTES D’UN NATUROPATHE

  • Avec des feuilles de chou vert sur les articulations ou zones douloureuses :

Prendre 3 feuilles de chou vert bien grandes, retirer la côte centrale, bien écraser les feuilles l’une sur l’autre avec un rouleau à pâtisserie. Étendre ces trois feuilles dans un récipient légèrement creux et verser l’eau de mer hypertonique ou intégrale afin de les recouvrir et laisser tremper 20 minutes.   Ensuite appliquer ces trois feuilles sur la partie concerner et (recouvrir d’un « scellofrais » sur la partie externe du cataplasme) et pratiquer un bandage de maintien. Garder minimum 2.00 heures

  • Avec de l’argile verte  

Prendre de l’argile verte concassée et remplir un bol de grande taille jusqu’au ¾. Ajouter moitié eau de mer hypertonique et moitié eau de source jusqu’à recouvrir d’1 cm, laisser reposer 45 minutes. Une fois bien hydratée, vérifiez la consistance du cataplasme (il doit être légèrement pâteux mais pas liquide).

Disposer de la gaze sur un plan de travail et verser le contenu du bol en ayant bien soin que le cataplasme fasse 2 cm d’épaisseur. Refermer la gaze et appliquer sur la partie concernée, (recouvrir d’un scellofrais la partie externe du cataplasme)  et maintenir par un bandage et garder minimum 2.00 heures ou toute la nuit.

Le fait d’associer l’eau de mer hypertonique à ces deux types de cataplasmes augmente l’efficacité et réduit le temps de convalescence

JC LE GALL  – NATUROPATHE

La chlorophylle

Où trouver la chlorophylle en grande quantité
sous un faible volume ?

La CHLORELLA  (vue sous un angle complémentaire)

il y a un intérêt majeur en cette période de risque viral de complémenter ses apports en vitamines, C, B, D,  Propolis…

Au-delà de l’effet détoxifiant bien connu de la chlorella, elle est aussi un apport très important en chlorophylle, ce pigment vert provenant des végétaux permettant la photosynthèse ; processus par lequel la lumière est transformée en énergie chimique disponible pour la cellule.

La structure moléculaire de la chlorophylle ressemble beaucoup à celle de notre hémoglobine, leur seule différence est leur atome central, dans cette dernière nous trouverons du fer alors que celui de la chlorophylle est un atome de magnésium : c’est ce qui donne aussi la différenciation de couleurs entre les deux :

Hémoglobine :  Atome central de fer, c’est ce qui donne la couleur rouge à notre sang

Chlorophylle :   Atome central de magnésium, c’est ce qui donne la couleur verte aux végétaux.

Les études montrent que la consommation de chlorophylle permet une augmentation de la production de l’hémoglobine
Lorsque le taux d’hémoglobine est à son niveau optimal dans notre circulation sanguine permet de bien irriguer toutes nos cellules en oxygène, atout majeur de fonction interne de la cellule pour tous les processus de régénération et de défense de notre organisme.  

Les bienfaits de la chlorophylle sont majeurs.
elle contribue à :

– La cicatrisation des tissus, à la régénération des cellules
– Corriger notre équilibre acido-basique
– Assainir notre flore intestinale et c’est sur cette action majeure que la consommation de chlorella va agir sur le métabolisme intestinal et l’effet barrière contre les infections virales.   

La chlorella est l’aliment qui contient le plus de chlorophylle :  Une consommation de 2 gr de chlorella par jour 10 jours par mois, va permettre d’augmenter l’efficacité bien connue du Magnésium.

La chlorophylle en complément du Magnésium en période hivernale

JC LE GALL, Naturopathe-Heilpraktiker      

Le Magnésium, un puissant antiviral et antibactérien

Lors des périodes de risques de contaminations virales ou bactériennes, le premier réflexe sera d’avoir les gestes d’hygiènes élémentaires, avec les savons antiseptiques, l’usage d’huiles essentielles en mélanges telles que Ravintsara, Tea-tree, Eucalyptus radiata…,
Toutefois la première lutte se fera en interne grâce à la puissance de nos défenses immunitaire, c’est à ce niveau que le Magnésium sous la forme chlorure issu de l’eau de mer est un antiviral puissant. Celui-ci est un remède très ancien si l’on veut citer les travaux d’André MAHÉ, du professeur Auguste NEVEU, Pierre DELBET et bien d’autres sur l’activité antiviral mais aussi : les crampes, les calculs biliaires, l’eczéma, les problèmes de prostate, les verrues, les gingivites.

Le magnésium, cet oligo-élément essentiel a presque disparu de notre alimentation en raison du raffinage des céréales mais aussi des méfaits de l’agriculture intensive et également des conservateurs utilisés dans l’industrie agro-alimentaire.

Magnésium et pain complet

Au 19è siècle, l’alimentation des français était moins substantielle mais plus équilibrée en minéraux et oligo-éléments. Alors que chaque français consommait en moyenne 900 gr de pain par jour cela couvrait largement nos besoins en magnésium qui sont de l’ordre de 350 à 400 mg / jour et ce n’est pas le pain blanc (dit raffiné) qui pourra couvrir ces besoins de nos jours.

Le magnésium, un cofacteur puissant des fonctions biochimiques

Au-delà de la protection du système nerveux le magnésium est indispensable à de nombreuses fonctions biochimiques de l’organisme, au métabolisme, à la synthèse des acides nucléiques et des protéines et à la majorité des fonctions de notre organisme, comme la reproduction cellulaire, la production d’énergie…

Le magnésium un anti-infectieux puissant

Dans cette période hivernale ou notre système immunitaire est sollicité au maximum pour lutter contre les agressions virales et bactériennes il est important de se prémunir en réalisant des cures actives de 10 jours à raison d’une ampoule de 250 mg de magnésium dans un demi-litre d’eau pour les personnes les plus fragiles à consommer dans l’après-midi, cure suivie ensuite d’une cure d’entretien à raison d’une ampoule dans un demi-litre à consommer à raison d’un verre 10 cl par jour pendant un mois.

Une action préventive au niveau de l’immunité :
Le rôle majeur à retenir en cette période hivernale est bien sûr la capacité à booster les défenses immunitaires en augmentant les globules blancs dans le sang afin de combattre maladies infectieuses.

Une cure combinée magnésium et probiotiques (symbiotiques), chlorophylle, sera encore plus efficace.

JC LE GALL, Naturopathe-Heilpraktiker                                                                          

En ce temps du Coronavirus…

Quelques conseils d’hygiène….

Dans une période aussi stressante et inquiétante, nous devons respecter toutes les règles qui sont demandées en matière de sécurité sanitaire, cela ne fera que de soulager toutes les équipes médicales qui luttent chaque jour pour sauver les vies de nos concitoyens et nos proches, merci à eux, ce respect des règles est là dans un instant d’unité nationale ou tout doit être fait pour que tout s’apaise au plus vite.

Afin de limiter au mieux ce stress qui est là, poursuivons notre activité par de la lecture enrichissante, travaillons sur soi par de la relaxation, ou si vous avez un tapis de marche, faites-vous du bien physiquement pour éviter la sédentarité et la procrastination. Changer l’air de votre lieu de vie en ouvrant les fenêtres deux fois par jour, éviter de succomber au partage des gourmandises avec la famille cela aura des conséquences plus tard…

(Bougez, adaptez votre alimentation à votre activité, mangez sain et équilibré)

Gardons le moral il est nécessaire de le partager avec tous, car plus nous aurons de bonnes nouvelles à échanger, plus nous effacerons ce stress.

Prenons conscience aussi de l’intérêt de renforcer nos immunités au maximum et plus nous sommes stressés plus nous abaissons nos immunités, le stress c’est aussi l’acidification du terrain, autant de conséquences en cascades qu’il faut limiter.

Pour limiter tous ces effets néfastes, pensez à prendre tous les suppléments importants pour lutter contre la fatigue nerveuse, le Magnésium, l’extrait de magnolia (Honokiol) qui agit sur la détente nerveuse, les anti-oxydants, la vitamine C, préservez votre flore intestinale en consommant des probiotiques, prenez de l’échinacée car elle contribue à la résistance et soutien les mécanismes de défenses naturelles des voies aériennes supérieures de l’organisme, du plantain, de la Criste marine, de la propolis.

Restons unis et solidaires en respectant toutes les consignes et préconisations des services de santé, c’est penser à eux, c’est penser à nous tous. Dans la tempête gardons notre calme et le cap sur l’avenir,

Bien à vous,

Sylvain LE COGUIC
Vice-président de l’association  Professionnelle des HEILPRAKTIKER

Le stress

Dans vos différents livres et conférences, vous insistez beaucoup sur le stress, pourquoi ?

Dans notre situation de crise économique durable, j’estime avant tout que l’art de vaincre le stress au quotidien est la meilleure chose que nous puissions réaliser afin de faire face.
J’aime parler du stress parce que, pour moi, il est le facteur déclenchant unique de la majorité des graves pathologies sur un terrain prédisposé. Nous vivons dans un monde d’agressions multiples, et un individu stressé est un individu agressé. Le stress entraîne des dommages dans notre corps mais ces lésions peuvent être réparées par notre organisme pour peu qu’il soit capable de le faire.

En effet, nous pouvons réparer les dégâts causés par le stress par l’intermédiaire de notre système nerveux végétatif. Le système nerveux végétatif est la partie de notre système nerveux qui commande tout le fonctionnement de notre organisme sans la dépendance de notre mental.

Ce système se divise en deux parties, le système sympathique et le système parasympathique.

Le rôle du système sympathique est de mobiliser de l’énergie dans notre corps à partir du glucose sanguin issu du repas précédent et du glycogène hépatique et musculaire qui est la réserve profonde de sucre. Cette mobilisation sert à réparer les dégâts causés par le stress par l’intermédiaire notamment des glandes surrénales qui sécrètent l’adrénaline et la cortisone. Et, si besoin, il mobilisera par la suite les réserves minérales profondes qui constituent en fait nos propres tissus.

Le système parasympathique a pour rôle de refaire les réserves qui ont été utilisées.

Ces deux systèmes doivent être en équilibre comme les plateaux d’une balance. Dans notre société actuelle où les aspects négatifs et angoissants ne sont que trop visibles (pour ne citer que la conjoncture économique, les catastrophes naturelles…) le système sympathique travaille en permanence et nous allons jusqu’à mobiliser à l’extrême nos réserves profondes. Les glandes surrénales sécrètent alors davantage d’adrénaline pour mobiliser ce qu’il reste à mobiliser et elles s’épuisent vite.

Cependant, l’énergie vitale du corps garde également des réserves pour ses fonctions métaboliques de base. Ainsi, à un moment donné, au niveau organique nous n’avons plus de sucre, de minéraux, de nutriments pour réparer les dégâts causés par le stress. Cet état organique engendre au niveau comportemental un état d’inhibition de l’action. C’est ce que l’on appelle « l’aboulie ». L’individu n’a plus envie de rien, il se force à poser des actes même simples, à prendre des décisions et ressent une grande fatigue physique, une profonde lassitude. Mais le stress de la vie ne s’arrête pas pour autant… À partir de ce moment, instinctivement, l’individu va utiliser des sympathicomimétiques, c’est-à-dire des substances qui vont continuer de mobiliser en aveugle les réserves profondes de notre organisme, notamment les minérales qui ne devraient pas être utilisées car elles constituent nos propres tissus.

Nous parlons souvent de la nocivité du cholestérol par rapport à ce type de maladie, on oublie de parler du stress et de la fragilité de la paroi des vaisseaux engendrée par le stress. N’oublions pas également que les glandes surrénales sécrètent aussi la cortisone qui joue exactement le même rôle physiologique que l’adrénaline, c’est-à-dire la mobilisation des réserves pour réparer les dégâts causés dans le corps par une inflammation, une allergie, voire une infection. À partir de là, une décharge d’adrénaline peut engendrer un épuisement de cortisone entraînant une dépression immunitaire, facteur déclenchant de cancers sur un terrain prédisposé, et de maladies auto-immunes. Dans ce cas-là, les défenses du corps deviennent tellement faibles qu’elles n’arrivent plus à reconnaître les tissus sains des tissus malades, comme dans la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde etc. Ceux sont des maladies de civilisation qui, actuellement, augmentent à la vitesse grand V…

Et c’est pour cette raison que je me bats depuis des années pour aider les gens à mieux gérer les différentes agressions provoquées par notre vie trépidante moderne.

Serge LEAUTIER
1A rue Sous Pymaure – 05000 GAP
Tél : 04 92 53  68 57
www.sergeleautier.fr

Dans son enfance, Serge LEAUTIER voulait être ingénieur agronome, mais sa destinée était tout autre ayant eu des graves problèmes de santé.
S’étant soigné par un changement de son alimentation, c’est alors qu’il a vraiment pris conscience de l’importance de la nutrition sur l’état de santé.
C’est donc en voyant ce formidable résultat personnel qu’il a décidé, par vocation tardive, de devenir hygiéniste-nutritionniste.
En plus de ses consultations privées, Serge LEAUTIER fait des conférences, des émissions radios, rédige des articles dans des magazines et écrit des livres sans le seul but de faire profiter de sa formidable expérience à un maximum de personnes. 
Extrait du livre de Serge Léautier « La destinée de l’homme »